Conclusion

Les progrès scientifiques ont permis de mieux connaître notre Univers, ceci, particulièrement grâce à l'évolution progressive des instruments optiques, de la longue-vue jusqu'aux télescopes informatisés qui sont aujourd'hui à la pointe de notre technologie. Ainsi le premier instrument optique fontionnait à lentilles et était sensibles à 2 aberrations : l'aberration chromatique et l'aberration sphérique. Aujourd'hui, nous possédons également des télescopes ) miroirs de plusieurs mètres de diamètres (dans des observatoires...) qui permettent de voir loin dans l'Univers avec une précision et une réelle qualité d'image.

On observe Jupiter à travers un instrument capable de distinguer les satellites afin d'étudier leur période de révolution. Si possible avec un rapport F/D élevé (au alentour 10 ou plus).
L'observation doit se dérouler dans un milieu préalablement choisi, avec peu de turbulences, une pollution lumineuse limitée et un champ de vision non gêné par l'environnement (immeubles, arbres...).
De plus, pour le confort de l'observation, on doit utiliser une mise en station précise (méthode Bigourdan, si on veut vraiment une observation parfaite), afin de suivre l'étoile, grâce à un télescope motorisé avec une monture équatoriale.
On repère tout d'abord la position de Jupiter grâce à un atlas ou aux éphémérides, puis on le pointe avec le chercheur.
Le grossissement idéal pour observer cette planète se situe entre D/2 et D.

Grâce à l'observation de Jupiter et d'un de ses satellites (Ganymède), nous avons pu déterminer quelle était la période de révolution de ce satellite.
Pour cela, nous avons utilisé le logiciel Geogebra qui nous a permis de réaliser des graphiques. Nous avons aussi calculé le demi-grand axe de la trajectoire de Ganymède autour de Jupiter.
A partir de la 3ème loi de Kepler et la loi de gravitation de Newton, il a été possible de calculer la masse de Jupiter.
La masse trouvée est proche de la masse officielle de Jupiter car l'erreur commise est de 6,4%.